Sondage : quelles solutions d’avenir pour le lait wallon ?
par Benoît GEORGES, le 10 Mai 2016 17h46
https://agriculture-natpro.be/2016/05/09/sondage-quelles-sol ...N'hésitez pas à donner votre avis.
Ce sondage est réalisé dans le cadre du projet "Echangeons sur notre agriculture".
Les pistes prioritaires seront approfondies et feront l’objet de tables-rondes cet été/automne.
Compost disponible – Intradel Biocentre de Lixhe
par Biocentres - Intradel, le 14 Novembre 2025 10h12
Intradel propose aux agriculteurs la possibilité de s’approvisionner en compost de digestat ainsi qu’en compost de déchets verts. Ces produits, issus du Biocentre de Lixhe, disposent de toutes l
Agri-webinaire ce jeudi 13/11/25 à 13h
par Benoît GEORGES, le 12 Novembre 2025 23h18

Vous souhaitez mieux comprendre votre conseil de fertilisation et interpréter votre rapport d’analyse de sol, ainsi que l\'outil BELCAM ? Ne manquez pas notre prochain Agri-webinaire de demain ! Je
Agenda du SPW Agriculture en province de Liège du 4-11-25
par Benoît GEORGES, le 06 Novembre 2025 22h35

Découvrez l\'agenda du SPW Agriculture en province de Liège du 4 novembre 2025 ! Le fichier pdf : walakis.be/fr/actualites/agenda-du-spw-agriculture-en-province-de-liege-du-04-11-25 Les newsletter
Rencontres de l’engraissement : rendez-vous les 20 et 26 novembre
par College des producteurs, le 06 Novembre 2025 12h37

Dans le cadre du projet « Engraissement », soutenu par la Wallonie, Elevéo et le Collège des Producteurs ont organisé en 2025 deux rencontres éleveurs-débouchés : le 2 avril à Soignies et le
Pont bascule
par Pfff, le 29 Octobre 2025 07h52
Pour ceux qui ont investi ou bien utilisent un pont bascule pour ce qui rentre (ou ce qui sort) de leur exploitation, avez-vous constaté des vraies différences de poids ? Les transporteurs ou four
Séance d\'information sur la facturation électronique à Damré (Sprimont)
par Benoît GEORGES, le 26 Octobre 2025 17h48

À partir du 1er janvier 2026 : la facturation électronique devient obligatoire ! Séance d\'information \"La facturation électronique, ce qu\'il faut savoir en agriculture !\" le mardi 28 octobre 2025
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Europeen
le 10 Mai 2016 20h07
C'est fini notre nature lait wallon, les laiteries nous ont eu ... Terminer le progrès... On est foutu.
tdb1250
le 10 Mai 2016 20h41
De la grosse farce ce lait wallon .Je ne trais plus depuis 6 mois et bien heureux .
Le voisin
le 10 Mai 2016 20h53
Plouf....
Benjy
le 10 Mai 2016 21h02
faut demander à hum hum
lewallon
le 10 Mai 2016 21h18
Suffirait que chaque producteur laitier européen reproduisent leurs références de quota pour rééquilibrer le marché !
La putte
le 10 Mai 2016 21h54
@ wallon
Exact. Tu as raisons à 200 o/o
Mais 1 paquet d écervelés ne voudras pas le faire
choupet
le 11 Mai 2016 07h55
il ne vous est pas demandé de crier votre désarroi mais de répondre à un questionnaire des gens sont la pour vous écouter et voir vous aider alors ayez la politesse de les remercier et si vous ne répondez pas à leur questionnaire respectez les en ne déviant pas le sujet
merci à eux et pour eux
Chrostif
le 11 Mai 2016 08h12
Désolé choupet mais ce sont les mêmes gens qui organisaient des conférences pour augmenter la production quand il fallait au moins la maintenir et ce sont toujours les mêmes qui disent qu'il est impossible de convaincre nos voisins européens.
Collin maillard est la juste pour meubler pas pour agir ou défendre, il faut croire qu'il n'a plus envie d'être élu à l'avenir...
PA25
le 11 Mai 2016 12h36
@ Chrostif, si Collin est là ou il est, c est un president de parti qui y a mis le meuble, y a rien à espérer de personnes, de meres natures peut etre ....
choupet
le 11 Mai 2016 14h06
chrostif je te dis pas le contraire mais bon dieux si vous avez des idées, quelque chose qui peut t'aider ou aider tout le monde ne te gène pas vas y meme si tu en as un profit plus prononcé.
mais crier c'est normal je comprend mais trouver une solution c'est encore mieux .
il faut nous adapter c'est tout .
il y a un truc qui me plairait et je leur ai expliqué pourtant je trai pas .on ne sait jamais si ça pouvait aboutir.
que ce soit colin ou tartempion ça changera rien les moyens financiers sont nuls et politiques il faut l'accord de l'Europe si tu veux des dons du pouvoir politique la population est contre et moi aussi à chaques fois on est redevable.
Laraison
le 11 Mai 2016 16h20
D’abord, si nous en sommes là, c’est parce que les laiteries transformatrices répercutent le prix qu’elles obtiennent de leurs ventes sur le prix à la ferme, après évidemment avoir rémunéré les facteurs de productions au prix normal dans l’usine. Ils paient les salaires quels qu’ils soient, les emprunts, les coûts en tous genres. Si le marché est demandeur, il reste quelque chose pour payer le lait ; si le marché n’est pas bon, il ne reste plus rien pour le producteur.
Marcel
le 11 Mai 2016 19h29
@ Laraison
Tiens, pourquoi Lactalis et Danone ne veulent-ils pas publier leur comptes? Tu penses vraiment que ces pauvres gens ne font pas de bénéfices sur notre dos?
Laraison
le 11 Mai 2016 20h29
D’abord, si nous en sommes là, c’est parce que les laiteries transformatrices répercutent le prix qu’elles obtiennent de leurs ventes sur le prix à la ferme après évidemment avoir rémunéré les facteurs de productions au prix normal dans l’usine. Ils paient les salaires quels qu’ils soient, les emprunts, les coûts en tous genres. Si le marché est demandeur, il reste quelque chose pour payer le lait ; si le marché n’est pas bon, il ne reste plus rien pour le producteur. Et que ce soit en coop. ou en s.a., ça ne change rien car la s.a. calque son prix sur celui de la coop. Difficile de perdre, on donne ce qui reste au fermier quel que soit le prix mondial, on transforme tout. Ce système est féodal ! Les fermiers sont les seuls, en fond de ligne à souffrir des mauvaises conditions de vente des produits finis et sans visibilité sur les ventes de produit finis et le marché.
Laraison
le 11 Mai 2016 20h38
Les fermiers sont les seuls, en fond de ligne à souffrir des mauvaises conditions de vente des produits finis et sans visibilité sur les ventes de produit finis et le marché.
Nous sommes sensés être les propriétaires de ces coop.., les décideurs, alors pourquoi ne pouvons-nous pas connaître les perspectives des prix de ventes de nos propres laiteries avant de produire, de mois en mois, trimerstre et semestre… ?
Dans ce cas, l’objectif devrait être de ne vendre sur le marché que si le prix après répercussion des coûts était rémunérateur pour le producteur.
Laraison
le 11 Mai 2016 20h44
Si nous en sommes là, c’est aussi que les laiteries nous ont dit il y a deux ans que tous les indicateurs étaient au vert, qu’on pouvait produire. Aujourd’hui, les plus sensibles d’entre nous sont ceux qui ont de gros investissements. Gros investissements = souvent grosse production. Et il y en a déjà deux qui ont jeté l’éponge, dont un cette semaine. Si les laiteries commencent à perdre leurs gros producteurs, comment feront-elles pour continuer à tenir lorsqu’elles ne pourront plus saturer leur outil comme elles le font maintenant ? Chômage économique ? Regroupement, fusion ? Risque de leur propre disparition ! En ne veillant pas à notre rentabilité, elles scient la branche sur laquelle elles se croient installées comme dans un fauteuil. Nous avons besoin de visibilité afin de pouvoir investir en connaissance de cause, avec des prix connus à l’avance sur des quantités déterminées, une vente décalée de la fourniture physique afin de profiter nous-mêmes des fluctuations de prix à la hausse et une protection à la baisse. Enfin, il est interdit de vendre à perte. Les autorités doivent agir. !!
Chrostif
le 11 Mai 2016 20h51
Ce que je trouve vraiment décevant, c'est que la nouvelle mode au Ministère de l'Agriculture, c'est de demander aux producteurs de trouver des solutions et de faire comme si eux ne savaient rien faire fautes de moyens
On sait toujours faire quelque chose quand la volonté y est, même si on a pas de moyens.
Quand on a pas de pétrole on peut toujours avoir des idées
Ce n'est pas qu'ils ne savent pas, ce serait plutôt qu'ils ne veulent pas !
Le circuit court est un plus mais ne porte généralement que sur de faibles volumes
Les laiteries pourraient en effet travailler à trouver de nouveaux marchés mais... à part le bio je ne vois ce qu'il y a d'autre comme créneau qui n'est pas déjà exploité
Vu que la baisse de production est la solution la plus simple, je chercherais un levier pour aller dans ce sens plus qu'un moyen de valoriser différemment la production.
Néanmoins, ce n'est pas parce que chacun peut travailler à des solutions personnelles pour y arriver, qu'il n'est pas utile de légiférer pour aller dans ce sens.
Le respect de l'environnement, pourrait servir de porte d'entrée pour y arriver.
Colin Maillard pourrait peut être aller voir en Flandre comment ils font pour être productif en ayant de fortes contraintes environnementales...
choupet
le 11 Mai 2016 22h40
vous etes le secteur primaire réfléchissez à cela et cherchez la ou les solutions qui peuvent vous aider .
malgré cela je trouve le prix qui vous est payé honteux
Laraison
le 12 Mai 2016 10h55
@Marcel
C'est bien ce que je dis: quand les laiteries ont payé leurs facteurs de production, ils donnent ce qui reste dans le "prix" du lait. S'il ne reste rien, nous n'avons rien. Nous rentrons chez nous après une dure journée de travail sans le sous et eux, ils rentrent chez eux sans une once de différence dans leur portefeuille, et cela parce que nous n'avons rien reçu. Et pourtant, nous travaillons le même produit dans la même filière!
Laraison
le 13 Mai 2016 00h06
J'aime mon métier, je veux continuer, mais si c'est pour rien, alors j'arrête les frais, stop. Je refuse que mes enfants soient traités comme je le suis. Quand on offre un travail à un salarié, il sait avant de commencer ce qu'il peut recevoir comme salaire et en déduire ce que sera son revenu.
Moi j'ai commencé (comme nous tous) sans savoir ce que je gagnerais sur mes productions et donc sans être capable d'estimer mon revenu. En plus, j'ai du m'endetter. La laiterie qui achète mon lait l'a déjà revendu en produit fini lorsqu'elle vient le chercher chez moi. Je ne veux plus livrer sans savoir à l'avance quel prix j'aurai. Et que je sois en coopérative ou non ne change rien à cela.
Steschou
le 13 Mai 2016 20h16
Du même avis que toi laraison, mais juste un petit détail c'est que l'on a plus RIEN a dire chez soi que se soit pour le prix ou la réglementation, et ce n'est pas d'hier .
bilout
le 14 Mai 2016 06h02
Une solution serait que nos laiteries aient le courage de se tourner vers des produits innovants et à haute valeur ajoutée au lieu d’investir toujours plus dans la facilité qu'est le beurre/poudre. Voyez les AOP en France, ils ont encore de très bon prix, le lait à "Comté" est encore payé à plus de 0,40€. Mais y-a-il une réelle volonté des dirigeants de laiteries de diversifier la transformation et de nous payer un prix acceptable?