
Ce n'est pas moi qui le dit ...
par Enibob, le 27 Janvier 2014 23h16
http://www.reussir-lait.com/actualites/les-cours-devraient-r ...Selon des analystes, les cours des produits laitiers devraient rester élevés au cours du premier semestre 2014, le marché étant orienté par la demande, notamment de la Chine et de la Russie, plus que par l'offre ...
Les dernières cotations obtenues lors des enchères de GDT en Nouvelle-Zélande ont permis à l'index pondéré de grimper de 1,7% à un prix moyen de 5.025 USD/t FAS, soit 46% plus élevé d'année à année. Ce sont les produits à haute valeur ajoutée, comme les concentrés de protéines laitières, et non les commodités classiques (la poudre maigre a légèrement baissé et la poudre grasse est restée stable malgré une offre réduite de 5.000 t lors de ces enchères), qui ont tiré ces prix : ils sont en hausse de 61% par rapport à l'an passé. Et ce malgré une production laitière en forte hausse, que ce soit en NZ ou dans l'UE comme l'article de "Réussir Lait" l'expose.
Je tiens à préciser deux choses à...
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THERON
le 06 Février 2014 21h12
Merci pour l'info Enibob, bon à savoir.
QUe dois-je transmettre aux 20.000 vaches qui ont disparu en Wallonie, et aux 3500 laitiers restants? Que tout va bien dans le meilleur des mondes? Que l'agriculture familiale en équilibre animal sol va bien?
Bah, le maïs vaincra, le diabète et l'obésité suivront.
C'est pas compliqué l'exemple est actualisé en temps réel juste de l'autre coté de l'atlantique.
Alors préparons nous à un peu de (hyper)tension...
;-)
Enibob
le 07 Février 2014 19h39
Etes vous devenu medium pour communiquer avec les disparus ? :-)))
Et pour le diabète, rien ne vaut, semble-t-il la consommation de yogourt : www.journaldequebec.com/2014/02/07/manger-quatre-a-cinq-yogourts-par-semaine-reduit-les-risques-de-diabete
Plus sérieusement, pensez-vous vraiment que l'on peut décréter la structure de l'économie ? Partout où on a essayé, cela a été un échec. Dernier en date : le Vénézuela.
On produit pour satisfaire les besoins des clients. La Wallonie produit largement plus de lait qu'elle n'en consomme, mais importe 60% du fromage que les Wallons consomment. Alors, les transformateurs (à près de 80% des coopératives de producteurs ...) doivent gérer cela. Pas les politiciens.
Autre chose, si vous avez lu les billets exposant les stratégies de certaines coopératives, vous aurez noté que le marché européen est "atone" contrairement aux marchés dits émergents, Moyen Orient, Chine, Russie et, dans une moindre mesure, Afrique. Les dites coopératives investissent en recherche et en installations pour fournir ces marchés, notamment en produits à haute valeur ajoutée dérivés des protéines laitières. Et elle payent largement mieux leurs adhérents en raison des profits générés par cette stratégie, profits qui sont distribués aux membres. Est-ce en se lamentant que l'on trouvera une solution ?
Pour certains, oui, la situation n'est pas trop mauvaise ...
Voyez aussi mes diverses réflexions sur l'agriculture familiale ... Ne pensez-vous pas que c'est la taille de certaines d'entre elles qui fait que leur transmission n'est plus "payable" suite à la concurrence entre les diverses fonctions du territoire ? Investir dans des "hectares", n'améliore pas la productivité, alors que vous n'ignorez pas que la croissance est toujours dû aux gains de productivité. J'attends toujours de voir une proposition à ce sujet (sauf l'association "Terres en vue") ...
Enibob
le 07 Février 2014 21h02
Qu'en pensez vous M Théron ?
Je lis dans la presse française un article au sujet des analyses d'une société de gestion qui se sert comme indicateur du ratio "prix du lait/coûts des aliments". Les exploitations suivies (en Bretagne) montrent que cet indicateur va ... de 2 à 6 €/1000 litres. Cela signifie, pour une même période, qu'avec une mise de 1 € de coût alimentaire, certaines exploitations vont générer 2 € de output lait alors que d’autres vont réaliser 6 €. Ce sont principalement les différences de coûts alimentaires qui expliquent ces écarts, avec une plage de variation allant de moins de 60 €/1000 L à plus de 160 €/1000 L. Et selon les analystes, il n'a a pas prédominance d’un système plus qu’un autre, que ce soit pour les plus économes ou les plus dépensiers ...
Cela me fait rappeler, si besoin en était, qu'être à la pointe de la technique ne suffit pas. Il faut aussi être un gestionnaire avisé, c'est à dire, mettre en face de chaque choix technique, particulièrement l'alimentation qui est un des plus gros poste, "les euros". Bref, avoir une approche technico-économique appuyée par une stratégie qui permette d'anticiper les choix à prendre en cette période où la seule certitude sera une volatilité ET des prix du lait ET du prix des aliments.
Ce serait peut-être cela un message aux laitiers survivants ... ainsi que de leur demander si et de quelle façon, pour ceux qui sont concernés, ils se préoccupent de la valorisation de leur coopérative ...