Ultra libéralisme Européen "the origins"
par alliance d19-20, le 28 Novembre 2013 12h27
www.youtube.com/watch?v=dRgBEyPjzSc
Si vous voulez comprendre comment et pourquoi on en est arrivé là, regarder attentivement ce film d'ARTE. Vous verrez qui dirge l'Europe, qui sont le groupe des "amis de l'Europe"....
Et donc ce que représente Mr Moreau et Mr Enibob.
Il faut réagir vite avant qu'il ne soit trop tard: www.d19-20.be
205 millions d\'euros !A l\'heure du Mercosur!
par Chris , le 25 Décembre 2025 21h44
???? Le programme de travail sur la politique de promotion 2026 est sorti ! 205 millions d’euros en 2026 pour cofinancer des activités de promotion des produits agroalimentaires européens durable
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Enibob
le 28 Novembre 2013 14h04
Ultralibéralisme, cela ne veut rien dire ...
Mais peut-être est-ce la PAC, principal poste de dépense du budget européen que vous visez sous ce terme ? Vous en profitez pourtant de cet "ultralibéralisme" ...
Le libéralisme, cher monsieur, n'a rien à voir avec le capitalisme de copinage qui caractérise nos sociétés actuelles. Le libéralisme, c'est un ensemble d'idées, de pensées au sujet du marché libre, basé sur la liberté individuelle et une intervention limitée de l’État, et qui met en relation la liberté humaine et les actions d’un sujet rationnel poursuivant ses intérêts personnels sur un marché concurrentiel. Un véritable libéralisme, ce n'est pas la jungle.
Si vous pensez que l’intervention étatique, le protectionnisme, la manipulation des taux de changes et des prix sont "une bonne chose" et que les gouvernements ont le droit de s’y livrer pour "favoriser la croissance" ou défendre les privilèges de certains, pour moi c’est purement une monstruosité intellectuelle. Vous et vos semblables, à la mentalité inféodée à l’étatisme, au marxisme et à la pensée magique, êtes pris par un délire obsessionnel, celui de détruire le capitalisme. De là vient votre méfiance quasi pathologique envers l'entreprise, le marché, les patrons, la bourse, les sponsors, l'argent voire même la liberté individuelle assimilée à la jungle. Et vous cherchez dans le monde d'hier les solutions pour affronter un monde de demain qui est radicalement différent. C'est une recette éculée qui permet de s’affranchir de ses propres défaillances en repoussant la faute sur les autres, en invoquant je ne sais quel complot ...
Sollecus
le 29 Novembre 2013 12h01
www.pageliberale.org/?p=788
Le libéralisme tue l'agriculture
Lisez les commentaires.
richard
le 29 Novembre 2013 16h29
simplement un lien
pour moi une bonne analyse
www.pauljorion.com/blog/?p=60186
Enibob
le 29 Novembre 2013 22h08
Diantre ! sollecus-sucelos-007 etc, ne comprend toujours pas le deuxième degré ! L'auteur qu'il cite montre le succès de l'agriculture néo-zélandaise sous un régime ... libéral et lui, il proclame "le libéralisme tue l'agriculture" ! L'agriculture US dans ces conditions aurait disparu depuis belle lurette ...
Je le cite :
- "(en Nouvelle Zélande) l’économie agricole a enregistré un taux de croissance de 4% au cours de la dernière décennie, comparativement à seulement 1% pour le reste de l’économie néo-zélandaise."
- "Décidément, dur dur la vie pour les gauchistes. On dirait presque que la réalité est contre eux. Elle aussi elle a dû se faire payer par l’OMC. Mais au cas où même ce petit contact avec la réalité ne suffirait pas à guérir les protectionnistes-socialistes, je recommande le bon vieux traitement de choc Bastiat (bastiat.org/fr/petition.html).
Si les Etats pouvaient se substituer au marché, alors, l'URSS, qui avait totalement éliminé le marché, et détenait tous les moyens physiques de gérer l'économie, aurait été un succès ... Et c'est justement les pénuries agricoles générées par le système dirigiste qui ont provoqué sa fin peu glorieuse.
le Pay
le 30 Novembre 2013 13h07
Nous venons donc d'une aire Communiste Enibob ? Et les Amliriquains qui sont les plus grands protectionnistes qui existes sont également des communistes ?
Enibob
le 30 Novembre 2013 16h27
Nous vivons dans un environnement économique qui est la résultante, non du libéralisme, mais de l'activité étatique. Ce sont les Etats qui ont inventé et mis en œuvre les logiques terriblement pernicieuses du "too big to fai" et du "too public to fail". Cette course à la déresponsabilisation et au refus d’assumer les risques pris dès lors qu’ils se réalisent, c'est la cause première de la crise actuelle. Et c'est le contraire même du message et de la vision libéraux.
Quant à l'agriculture, la fixation de prix à des niveaux supérieurs à ceux des marchés a provoqué un excès de la quantité offerte sur la quantité demandée, c’est à dire une surproduction qui a été achetée grâce aux impôts des contribuables. Ces stocks, il a fallu les gérer, les conserver avant d'essayer les vendre en les bradant car personne n'en voulait aux prix payés aux producteurs. D'où encore des dépenses aux frais des contribuables qui avaient déjà payé pour stocker ces produits et qui ont encore dû payer payer une seconde fois pour les produits qu’ils ne consomment pas, mais qui sont exportés. Et ce en devant payer ses produits agricoles plus cher que les autres ... tandis que les fermiers, à qui on a interdit de produire alors que les prix les y incitaient, devenaient des assistés ... Tout le contraire de ce qui s'est passé en NZ lorsqu'on a mis fin aux subsides dont vous réclamez le maintien sous forme de quotas !
La liberté implique un mécanisme économique très bête, mais qui, manifestement, vous dérange fortement. Dans une économie libre, les entreprises n’ont qu’un seul moyen de faire des profits sans virer dans le banditisme pur et dur : satisfaire la demande sur le marché. Si elles échouent, la faillite leur tend les bras.
tirelipimpon
le 01 Décembre 2013 13h21
Une autre façon beaucoup plus subtile de faire des profits pour les entreprises. Tendre un piège aux futur président par exemple en lui proposant un don conséquent pour financer sa campagne électorale. Refuser le don c'est donner plus de chance à l'adversaire politique, l'autoriser c'est déjà accepter un engagement en retour pour favoriser l'entreprise donatrice par rapport à de futures décisions politiques et ainsi influer sur les consommateurs et par ricochet sur la demande du marché