Coopératives en action
par JM Moreau, le 11 Septembre 2011 00h06
Après les annonces des coopératives Arla et DMK (qui résulte de la fusion des coopératives allemandes Nordmilch and Humana Milchunion) de création d'une joint venture (ArNoCo) pour la production de protéines de lactoserum concentrées et de lactose (investissement de 44 MIO d'euros) et de coopération renforcée dans le domaine de la production de poudres par le biais de la construction d'une usine commune afin de faire face à la demande croissante sur le marché mondial, les coopératives Néo-zélandaise Fonterra et Britannique First Milk ont annoncé dans un communiqué commun la création d’une société commune (joint venture) visant la production de protéines laitières de qualité "en vue de satisfaire la demande européenne grandissante". Les deux coopératives laitières vont associer leur propriété intellectuelle et leur expertise de l’industrie en vue d’ajouter de la valeur aux flux secondaires de lactos...
Rencontres de l’engraissement : rendez-vous les 20 et 26 novembre
par College des producteurs, le 06 Novembre 2025 12h37

Dans le cadre du projet « Engraissement », soutenu par la Wallonie, Elevéo et le Collège des Producteurs ont organisé en 2025 deux rencontres éleveurs-débouchés : le 2 avril à Soignies et le
Ciné-débat le 7/11 à Vielsalm \"Au-delà des clôtures\"
par Benoît GEORGES, le 05 Novembre 2025 09h08

En voilà un film pour parler des défis de l\'élevage laitier ! Le vendredi 7 novembre à Vielsalm projection du documentaire \"Au-delà des clôtures\" ! Ce long-métrage retrace le parcours de 3 fe
Agri-Webinaire \"Savoir observer pour préserver la qualité des sols agricoles\" avec greenotec
par Benoît GEORGES, le 29 Octobre 2025 18h22

Ne manquez pas le prochain Agri-Webinaire ! Rendez-vous ce jeudi 30 octobre à 13h00 pour un nouvel épisode Thème : «Savoir observer pour préserver la qualité des sols agricoles » avec les conse
Pont bascule
par Pfff, le 29 Octobre 2025 07h52
Pour ceux qui ont investi ou bien utilisent un pont bascule pour ce qui rentre (ou ce qui sort) de leur exploitation, avez-vous constaté des vraies différences de poids ? Les transporteurs ou four
Séance d\'information sur la facturation électronique à Damré (Sprimont)
par Benoît GEORGES, le 26 Octobre 2025 17h48

À partir du 1er janvier 2026 : la facturation électronique devient obligatoire ! Séance d\'information \"La facturation électronique, ce qu\'il faut savoir en agriculture !\" le mardi 28 octobre 2025
Webinaire sur la facturation électronique
par Benoît GEORGES, le 21 Octobre 2025 16h21

Au 1er janvier 2026, tous les agriculteurs devront être en mesure d’envoyer et de recevoir leurs documents d’achat et de vente de manière électronique. La FJA vous explique tout, en ligne, ce m
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Quand les aides de soutien aux bio seront limitées dans le temps, q...

Sucellos
le 11 Septembre 2011 11h15
Les appels à la révolution ne sont pas parvenus de ce côté de l'Europe !
Certains agriculteurs parient sur l'innovation et finançant leur recherche afin de valoriser leur production avec des produits à haute valeur ajoutée et rationalisent leurs capacités de transformation en créant des synergies pour affronter la concurrence à l'export. Ils tablent sur une demande en croissance, ici pour des produits à haute valeur ajoutée, là-bas pour des poudres de lait dont la consommation croît avec la hausse des revenus.
D'autres réclament une limitation de production pour faire monter les prix en créant de la pénurie et veulent s'isoler des marchés où la demande croît ...
N'en déplaise aux apôtres du dirigisme étatique, ceux qui ne jurent que par quotas et prix réglementés, la réalité c’est le marché. Même en Union soviétique, le marché existait toujours et ses lois faisaient la nique aux planificateurs, par le biais du "marché noir" approvisionné par ... les producteurs (mais c'est peut-être ce que nos révolutionnaires espèrent !).
JM Moreau
le 12 Septembre 2011 21h00
Puisque M tirelipimpon ne nous fait pas l'honneur de nous donner la suite de l'article, voici en quoi elle consiste et vous comprendrez aisément pourquoi ce silence.
En fait, M Detroy est un conseiller en investissements, spécialisé en matières premières et en énergie et il recommande de suivre de près les entreprises du secteur solaire, maintenant que "les compteurs sont remis à zéro avec les faillites de nombreux acteurs".
Voici ses conclusions : "Une chose est sûre, les constructeurs chinois semblent promis à un grand avenir, à en croire l’engouement autour de ces valeurs. Signe de cette confiance, l’introduction sur la Bourse de Shanghai de la firme solaire Jingyuntong Technology devrait rapporter ce mois-ci trois fois le montant initialement annoncé, du fait de la forte demande.
Mais côté américain, les opportunités sont assez nombreuses également. Après un second semestre 2011 rouge sang, certaines opportunités devraient émerger. Affaire à suivre de près, donc.
Et n’oubliez pas : c’est l’atout technologique qui fera la différence. Quant aux compagnies comme First Solar ou JA Solar, elles apparaissent survendues actuellement. Au prix où sont leur action, ces valeurs méritent qu’on s’y intéresse."
Avis aux amateurs ....
tirelipimpon
le 13 Septembre 2011 10h53
? Pourquoi garder un oeil sur le solaire ?
Un conseil : ne vous détournez pas trop rapidement du solaire.
Certes, les gouvernements des pays développés ont fait un constat simple : l’énergie solaire coûte encore trop cher comparée à ce qu’elle rapporte. On estime à deux ans le temps pour un panneau solaire de produire autant d’énergie qu’il en a consommé lors de sa construction.
Investir dans le solaire est donc encore inutile et coûteux… pour l’instant. Les foules pro-environnementales tressent aujourd’hui des lauriers aux constructeurs d’éoliennes offshores, la nouvelle énergie à la mode. Mais comme toutes les foules, cette-ci est versatile, et pourrait très vite revenir vers le solaire. Pourquoi ?
D’abord parce qu’aucune énergie renouvelable ne peut être écartée à l’heure actuelle, au risque de tirer un trait sur ce qui sera peut-être une bonne partie de l’énergie de demain.
D’autre part, nos gouvernements ne peuvent pas laisser la Chine devenir le seul et unique producteur de panneaux photovoltaïques au monde. Cette nouvelle dépendance serait vécue comme un échec alors que nous luttons pour nous sortir de notre dépendance au pétrole.
Enfin, lorsque les Etats-Unis auront suffisamment développés leurs technologies, ils pourraient alors recommencer à gagner des parts de marché dans le solaire. Les jeux ne sont donc pas faits.
Si Pékin mène actuellement la danse, l’empire du Milieu sait qu’il a encore un lourd déficit au niveau technologie. Ce n’est pas pour rien que les Chinois guettent à présent des constructeurs américains à la pointe de la R&D sur le solaire, comme Applied Materials.
? Sur qui garder un oeil ?
Le secteur du solaire est en creux de vague. Après la remise des compteurs à zéro avec la faillite de nombreux acteurs cette année, on y verra désormais plus clair.
Une chose est sûre, les constructeurs chinois semblent promis à un grand avenir, à en croire l’engouement autour de ces valeurs. Signe de cette confiance, l’introduction sur la Bour