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Compost disponible – Intradel Biocentre de Lixhe
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Ne manquez pas le prochain Agri-Webinaire ! Rendez-vous ce jeudi 30 octobre à 13h00 pour un nouvel épisode Thème : «Savoir observer pour préserver la qualité des sols agricoles » avec les conse
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Une prime est un cadeau supplémentaire à ton re...

mirabelle
le 12 Janvier 2011 18h30
Déjà entendu 25.000 litres+ de 35 ans et 50.000 litrespour les jeunes. Ce n'est qu'une première estimation.
jmf
le 12 Janvier 2011 18h37
Article intéressant à lire mais pas facile à relier sur le nouveau lien de l'agri-web.
Il s'agit de taper la phrase suivante dans le moteur Google:
"crise du secteur laitier, un cas d'école"
amg
le 12 Janvier 2011 22h29
moi j"ai entendu que ce serait moins que l'année dernière
Taureau
le 13 Janvier 2011 12h47
+- 50000L pour les jeunes source SPW
tirelipimpon
le 13 Janvier 2011 16h56
En réaction à jmf et son article. L'europe veut tendre vers un stock "zéro". Le système de contrat sera idéal pour faire porter le chapeau aux producteurs.Je pense au problème de jeune agri qui était en manque de fourrages. Aujourdhui il peut se permettre de livrer moins que son quota, avec un contrat, il faudra livrer les quantités contractées peut importe que les nourritures soient suffisantes ou chères. Il sera encore plus important d'avoir des stocks de fourrage. Sur le blog de Paul Jorion,économiste et philosophe, David Cayla explique dans LE PRIX pourquoi l'agriculture est si vulnérable le 8 janvier 2010.D'abord les dettes et puis les contrats seront la dernière clef. "Le raisonnement peut être aisément transposé au cuivre ou au blé : pour maintenir les prix à un niveau artificiellement bas, il fallait être en mesure d?alimenter le marché en abondance. Et pour ce faire, rien de tel que de placer les producteurs dans une situation de surendettement chronique, que ce soient les agriculteurs pour le blé ou carrément des États tels que le Chili pour le cuivre. Car enfin, quel gouvernement sain d?esprit liquiderait ses ressources minières à un rythme aussi effréné quand il pourrait se contenter de produire moins, donc de sauvegarder ses ressources naturelles, mais en vendant à un prix plus élevé ?
De manière subsidiaire, on pourra ajouter que la tendance « naturelle » des marchés à sous-estimer les prix, telle qu?exposée dans l?ouvrage de Paul Jorion, n?a pas spécialement aidé les producteurs? Les contraignant à produire davantage pour s?assurer un minimum de recettes. Et donc à alimenter les marchés en abondance, permettant ainsi à la fois de satisfaire la demande et de maintenir les prix bas? La boucle ne serait-elle pas bouclée ?
Dernière remarque, un effet pervers particulièrement redoutable pour le monde occidental a été qu?en supprimant